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Ma'arif-e-Mathnawi
By: Shaikh ul Arab wal Ajam Hazrat Maulana Shah Hakeem Muhammad Akhtar Saheb (ra)
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Book: Ma'arif-e-Mathnawi
35. LE PROPHETE LOQMAN (A.S)
Le Prophète Loqman (a.s) travaillait pour le compte d'un homme riche. Et par la proximité et par l'amour qu'il entretenait pour Allah, il se développa en lui, un noble caractère et des vertus très élevées. Cette humanité, cette noblesse d'âme, et cet agrément de son Seigneur, qui étaient manifestes en lui, reflétaient comme un témoignage évident de sa proximité avec Allah. Les détails sont décrits dans le Noble Coran (Surah Loqman). Le haut et noble caractère de Loqman (a.s) fit si puissante impression sur la conscience de son maître, que ce dernier se mit à le considérer comme un grand ami et un compagnon intime. Il fut tellement épris d'amour pour Loqman(a.s), qu'il en devint le serviteur spirituellement. "AZ MOHABBAT SHAH BANDA MI SHAWAD" Traduction: C'est le miracle de l'amour, qui fait du Roi un esclave de son bien-aimé". Chaque bonne nourriture qui lui parvenait, il se faisait la coutume de l'offrir à Loqman (a.s) en premier et le maître mangeait les restes seulement lorsque Loqman (a.s) satisfait, eut terminé de manger. Loqman (a.s) tenait compte de la sympathie et de la coutume de son maître, mangeait donc avec modération et gardait une part qu'il faisait parvenir à son maître. Un jour, pendant la saison de melon, le maître reçut un melon de quelqu'un et Loqman (a.s) n'était pas à ce moment présent. Le maître dépêcha un esclave de l'inviter. Quand Hazrat Loqman (a.s) arriva, le maître trancha le melon et de sa main en offrit, à Loqman (a.s) avec plein de compassion. Et lorsque Loqman(a.s) portait ces tranches de melon à sa bouche, le maître éprouvait dans son cœur du plaisir et il se disait en lui, mais cet amour que j'ai pour lui quel sera donc l'impression cela pourrait lui faire. Loqman (a.s) savourait les tranches de melon et exprimait à chaque fois sa reconnaissance pour les faveurs que lui accordées son maître. Alors qu'il lui restait une seule tranche à terminer, le maître lui proposa : "permettez-moi de manger cette tranche pour apprécier aussi de sa douceur. Ce faisant, il porta donc la tranche à sa bouche, et aussitôt, une telle amertume se propagea du bout de sa langue jusqu'au fond de la gorge, qui le fit perdre conscience pendant une heure. Dés qu'il reprit ses sens, il interrogea Loqman (a.s) : "O mon Bien-aimé, comment êtes-vous parvenu à manger, avec appétit, toutes ces tranches de melon ? Alors qu'une seule tranche eut produit sur moi un tel effet. Comment se fait-il qu'il ne vous soit rien arrivé ?" Loqman (a.s) répondit : "Khawja Saheb, combien de faveurs eus-je reçu de vos mains. Et le poids de la reconnaissance est tellement lourd à porter, que mon dos finit par se courber. Alors de ce fait j'éprouve de la pudeur à savoir que ces mains qui, par lesquelles autant de faveurs me fut comblées, comment pourrai-je aujourd'hui repousser quelque chose venant de cette même main! Ô ! "Khwadja"1, le plaisir de savoir qu'il vient de vos mains a suffi, pour que l'amertume du melon soit transformée en douceur". Leçon: Mon guide spirituel, Mawlana Shah Pouhlpouri (rha) (Qu'Allah remplit sa tombe de lumière) prenait beaucoup de soin et de plaisir à raconter cette histoire dans ses assemblées d'initiation, et souvent il aimait à dire ce dernier couplet : Et après avoir raconté cette histoire, le cheikh donnait des enseignements et des conseils à propos de cette anecdote, montrant qu'à chaque instant combien de bienfaits et de miséricordes descendent sur l'humain. Mais, si jamais il lui arrive une petite difficulté dans son bien être pendant un petit instant, comme un incident qui se produit occasionnant extérieurement un certain problème, il fait alors montre d'impatience et d'ingratitude. Mais ailleurs, là où il y a des gens qui ont pu bénéficier de la compagnie des gens pieux, Allah les a gratifiés d'une bonne compréhension des affaires spirituelles, et quand la tristesse et les difficultés les atteignent, ils demeurent satisfaits de la décision de leur Seigneur. Dans de tels moments, ils puisent leurs forces de leur bonne compréhension de la spiritualité "Deen", et sont convaincus que ce monde ressemble à un hôpital, et que nous en sommes tous, des internés. Parfois, le médecin prescrit au malade le "halwa-e-badam"2 à manger, et en d'autres temps, il prescrit de "chara-ita" et "Ghuloo-e-neb" qui sont très amères. Cependant, des deux médicaments, ressortent des résultats bénéfiques aux malades. Pareillement, Allah est le "Al-Hakeem", le Sage et en même temps, Il est aussi le "Al-Raheem", le Miséricordieux. Donc, quel que soit le sort qu'Allah nous a destiné, qu'il apporte du confort ou de l'austérité, dans tous les cas il n’y a pour nous que profit. Le Hadice nous informe qu'un rang élevé a été réservé pour certains serviteurs. Mais, parfois, le serviteur ne peut accomplir les œuvres qui conduisent à ce rang. Alors, Allah lui fait subir quelques difficultés, et s'il arrive à les endurer avec patience s'en remettant à Allah, il se trouvera donc en mesure d'atteindre le rang désiré. Un autre Hadice déclare : "Un croyant est affecté de fièvre et (pendant qu'il en souffre) ses péchés s'effacent à l'image des feuilles mortes, qui tombent des arbres." Un autre Hadice qui dit : "Un croyant piqué par une épine, en reçoit une récompense. " Encore un Hadice : "Le jour du jugement dernier quand les situations endurées patiemment pour les désastres et les malheurs subis, des récompenses seront rétribuées. Alors, chaque personne qui eut subi des malheurs regrettera que sa peau n'ait pas été découpée en morceaux à l'aide des ciseaux, pour pouvoir bénéficier ainsi, de grandes récompenses ce jour-là. " Donc, un croyant dans les situations difficiles, devrait se satisfaire, et de telle façon qu'il ne se plaindra ni par sa langue ni par ses pensées. Mais plutôt de rechercher le pardon d'Allah et le bien-être en lui demandant : "O Allah, nous sommes faibles et nous ne possédons pas la force et la patience pour supporter les difficultés. S'il vous plaît, par Votre Miséricorde Infinie, échangez le bienfait de ce malheur par le bienfait du bien-être". Il nous est défendu de solliciter les malheurs et les difficultés, mais il nous a été ordonné de prier pour le bien-être. Solliciter Allah pour les malheurs, démontre de notre part un défi de notre bravoure, alors que solliciter Allah pour notre bien-être, relève de notre faiblesse et de notre humilité, et cela est apprécié auprès d'Allah. "Oh! Gens, arrêtez votre démonstration de force et de puissance, Adoptez l'attitude de supplier et de pleurer devant Allah, Car la Miséricorde d'Allah est accordée à ceux qui montrent leur faiblesse. Suppliez Allah avec humilité, pour que vous deveniez gai et heureux. De sorte que sans le sourire aux lèvres Vous resterez très heureux (d'Allah) du fond du cœur, Que des milliers de sourires sont sacrifiés pour une telle joie du cœur" ! Si une personne vit en permanence dans l'aisance et dans le confort, alors le tempérament de cette personne diminuera dans ses actes d'adoration. Il n'est pas possible d'être humble, sans goûter ou vivre dans l'austérité et dans les difficultés. Dans un Hadice "Qroudsi", Allah a dit : "Je suis à côté de ceux qui ont le cœur brisé". Par la patience, les cœurs se brisent, car elle est amère. Lorsqu'une personne, dans l'état de désarroi intense, souffrant de chagrin, pleure, implore et supplie Allah, avec une humilité profonde, comment sera-t-il possible qu'en vivant dans l'aisance et dans le confort, de s'adresser à Allah en toute humilité par de telles odes frénétiques et dans de telles suppliques ? Ce sont ces troublantes difficultés que subit une personne, qui vont être la cause de l'établissement d'un lien solide dans son cœur, avec Allah. "Avec Lui le lien se fait encore plus fort, L'austérité de la création devient la cause de sa miséricorde". Un sage dit : "C'est dans la tourmente que se dresse le chemin vers Allah." Cela c'est par rapport au sentiment d'impuissance et d'abnégation dans le cœur, qu'on éprouve dans ces moments de sacrifice et de ces dures épreuves. C'est dans de tels moments, que la communion avec Allah s'accomplit. "IN NAL LAAHA MAASS SWA BIRIINE" Allah dit : "En vérité, Allah est avec ceux qui sont patients". Ce thème a été traité par Hazrat Asghar Khaundwy (r.a) : "Si vous partagez ma peine, Alors pourquoi devrai-je me plaindre de cette peine". La conclusion de l'exposé démontre que la vie de ce monde ne dure que quelques jours. Qu'importe si ces jours sont pleins d'aisances et de conforts ou si ces jours n'apportent que désastres et malheurs, tous ces jours auront un terme. Donc, on ne devra ni se laisser emporter par la joie aux instants d'aisance et de confort, ni se plaindre et contester en période de difficulté et de malheur. Aux instants d'aisance et de confort, la reconnaissance devra être de rigueur, alors qu'en période de difficulté et de malheur, c'est la patience, et l'accent à la soumission qui devra être de vigueur. Si une personne garde en vue les buts et objectifs de la vie, sûrement il a trouvé la solution magique à tous les problèmes. Le but principal de cette vie est d'atteindre le plaisir d'Allah. Ce plaisir se réalise seulement en suivant Sa voie et en appliquant la loi qui est définie par Lui, en se repentant de tous nos manquements et de tous nos péchés et demander pardon pour les erreurs commises. Donc, si une personne adopte la Sunnat, qu'importe le règne d'aisance ou de calamité, les deux données portent en eux les moyens, et le chemin, menant vers le plaisir d'Allah. D'autre part, si quelqu'un n'est pas un adepte de la Sunnah, alors la situation d'aisance n'est d'aucun apport. Le Maître Ashraf Ali Thanwi (r.a) avait dit : "Les pêcheurs ou les gens droits sont sujets aux calamités et aux difficultés. La calamité peut être une punition de ses mauvaises actions ou alors un moyen de se rapprocher davantage d'Allah Le Trés haut, et une élévation du rang de la personne. Maintenant, comment pourrait-on démarquer la différence, entre qui pourrait être une bénédiction ou une punition ? Que la personne soit pieuse ou pêcheur ! La personne qui, épouse la sunnah en temps de calamité, qui ressent l'amour d'Allah, qui est satisfait des décrets d'Allah, qui gagne de plus en proximité d'Allah en humanité et en humilité, est une personne pieuse. D'autre part, les calamités qui, donnent des marques d'obscurité dans le cœur d'une personne, et qui lui font subir de l'éloignement d'Allah, et qui ne l’incitent pas au repentir, alors comprenez que cette épreuve, est une punition des mauvaises actions commises. Dans le chapitre de La Lumière, les bienfaits de demander pardon (istighfaar) sont évoqués. A travers le repentir, Allah fait tomber la pluie, crée de beaux jardins et donne des enfants pieux. Mawlana Roumi (r.a) dit: "Quand vous ressentez la tristesse au cœur, ayez recours Au repentir, La tristesse est le produit du décret d'Allah, Donc faites de bonnes actions, mais en fait, augmentez en la mesure. Quand Allah souhaite verser abondamment Sa Miséricorde sur nous, Il nous donne la capacité de nous soumettre, en pleurant avec humilité". Mawlana Thanwy (r.a) après une bonne période, cette idée resta figée. C'est à dire qu'Allah accorde a quelques dévots des degrés élevés à travers leurs efforts et exercices spirituels (mujahadah). Cependant, Il accorde à d'autres la même faveur sans même les éprouvé. Comment donc, de part sa Miséricorde, Il ferait subir à ses serviteurs de telles épreuves. Un beau jour Mawlana Thanwy (r.a) dit qu'une idée pour la solution à ce problème lui fut parvenue directement dans son cœur. En guise de réponse l'idée futque toutes les étapes et degrés qui seraient attribuées aux aspirants (saalik) sans "Mujahada" (effort), les faveurs d'Allah (nirmah), ne pourront pas être appréciés. Et s'il n'y a pas appréciation des bienfaits d'Allah, alors il ne pourrait y avoir de l'enthousiasme ou de la motivation pour accroître ces bienfaits. Tout comme il y a un accroissement de bontés à travers la gratitude, comme il est décrit dans le saint Coran, de même qu'il y a une régression des bontés quand la gratitude diminue. Mawlana Roumi (r.a) interroge : "Pourquoi le Roi des intellects, Qui est Tout Miséricordieux, Peut-il faire subir sans nécessité, Une telle épreuve à l'âme ?" Ensuite Mawlana Roumi (r.a) de répondre : "Sans Mujahadah, aucune lumière de la vérité n'est diffusée au cœur, Qui est perçue à travers la foi véritable et la communion divine ! Si cette perception était réalisable par la raison seule, Alors quelle nécessité y a-t-il à contraindre l'âme(nafs) A de telles épreuves". Mawlana Hakim Akhtar dit : Contraint par les épreuves et le désarroi, Les larmes qui sont versées en cherchant à se repentir dans des suppliques, le degré d'assistance rétribuée, est plus conséquent que celui prodigué en période d'aisance et de confort. En dépit de cela, personne ne devrait souhaiter de subir des calamités. Ce qu'il doit rechercher, c'est le bonheur, la prospérité, et la sécurité contre le mal. Mais si, de la part d'Allah, quelque tristesse et quelque épreuve atteint quelqu'un, il ne devrait pas se lamenter et perdre patience. Mais penser au contraire, que c'est Allah qui nous prépare à être initié, et qu'à travers cette formation, Il élève notre rang. Les tristesses et les calamités sont aussi des faveurs (nirmah) d'Allah et dans de telles contraintes, les prières surgissent du cœur, et le lieu de prosternation est inondé de larmes. Et le plaisir dans la supplication même, est un grand bienfait. "En priant Allah les Amoureux n'ont d'autre but que de ressentir le plaisir de murmurer secrètement avec Lui." C'est à cause de cette contrainte que sont versées des larmes, dans des suppliques par des soupirs brûlants de nostalgies, que cet entretient très secret s'établit avec Allah, et toutes ces suppliques et tous ces soupirs sont à Lui très chers. Mawlana Roumi (r.a) dit : "Je pleure et j'implore, mon Bien-aimé, car cela lui parait plaisant, Et dans les deux mondes nos tristes larmes de soupirs sont aimées de Lui. Béni est l'œil qui pleure à la pensée de son Bien-aimé Et béni est ce cœur qui est enveloppé de Son Amour. Car aussi longtemps que le bébé ne pleure pas, le lait ne coule guère des seins de la mère, Et aussi longtemps que les nuages ne versent pas des gouttes de pluie, le jardin ne verdit pas. Des miracles des nuages, le jardin devient vert et fertile, Et autant que la bougie brûle, plus elle émet de lumière. Là où les larmes s'écoulent, la miséricorde règne. Et où l'eau flotte, la verdure et la fertilité prévalent. Les larmes du pécheur peiné sont comptées par Allah Au même rang que le sang du martyr. Supplier et pleurer sont de grandes richesses, Et la Miséricorde d'Allah est une grande bénédiction. La richesse de ce monde se résume à l'or et à l'argent. Le capital aux yeux d'Allah est l'amour et deux yeux qui pleurent". Un Sage disait : "Ô! Bien-aimé, de garder les yeux ouverts pour d'autre que Toi, serait du gaspillage. Et pleurer la séparation avec d'autres que Toi, n'est que futilité ! " Il est vraiment très pénible d'endurer avec patience les épreuves et les calamités, mais c'est une alchimie bien étrange. Il transforme le pèlerin en de l'or pur. Les rangs qui sont inaccessibles par des années d'efforts et d'exercices spirituels, sont rapidement atteints à travers les bénédictions de la patience. Pour cette raison, il est essentiel pour chaque pèlerin de la voie (saalik) de considérer l'amertume de la patience comme une douceur, en égard de la grande bonté quelle recèle. Ce n'est que quelques jours de difficultés et de privation. Après cela, c'est le sourire et bonheur sur bonheur. On passe la moitié de sa vie à endurer des épreuves, et en échange de cette moitié (de vie), le Grand Dispensateur de bonté vous accorde des milliers de vies. "Combien de faveurs sont rétribuées à ceux qui sont patients et qui persévèrent ? Des dons auxquels ni vos pensées ni votre imagination ne peuvent atteindre. Telle est la bénédiction de la patience. Il y a des milliers de remèdes qu'Allah a créé, Mais pour les enfants d'Adam le meilleur remède se nomme patience, Quiconque endure avec patience, vivra ferme dans le "deen"(la spiritualité), et parviendra à la "wilayat" ou à l'intimité de Dieu, jusqu'au plus haut rang des Véridiques "Siddiqeen". Le Prophète (p.s.s.l) a prévenu qu'Allah n'accordera même pas l'Imaan, A celui dont le tempérament ne contient aucune patience. Ayoob (a.s) endura de patience sept années durant, Et accueillit avec satisfaction les invités d'Allah (les vers sur son corps). On raconte que lorsque Ayoob (a.s) fut délivré de cette épreuve et fut guéri, quelqu'un l'interrogea : "Ô! Prophète! Quand est-ce que vous vous sentiez plus heureux? Etait-ce pendant la période d'endurance ou pendant ce moment de santé et de bien-être? Il répondit : "Mes remerciements à Allah pour m'avoir accordé la faveur de la bonne santé. Mais pendant que je souffrais, chaque matin et chaque soir, la voix spéciale qui me fut parvenue de l'invisible, me demandait: "Oh Ayyoub comment vas-tu?" - Quel bonheur et quelle ivresse me procurait cette voix! Tellement que de milliers de vies peuvent être sacrifiées pour ce seul instant de cette "demande de mes nouvelles", car elle me faisait oublier toutes les souffrances qui m'affligeaient. Maintenant Le cœur désire entendre ardemment cette voix qui aujourd'hui s'est tue. Quand une personne endure tristesse et souffrance, il devrait à tout prix ne pas se plaindre ni faire aucun reproche. Car cela est une grande offense. Car la souffrance ou le bien-être nous viennent de la part d'Allah, et c'est pour cela que de se plaindre ou d'en faire des reproches à ce propos apparaît comme une offense et comme un acte de koufr. Il est fondamental ce que l'esclave doit être à jamais, satisfait de ce que le Maître détermine pour lui, car le Maître a le contrôle absolu sur sa propriété et il en fait à sa guise. Maintenant je ferme la parenthèse avec ces quelques vers de poésie. Qu'Allah fasse de nous ses vrais esclaves et nous accorde la capacité d'agir conformément à son plaisir ! Aamine. |
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